transformation numérique – m2ie | http://www.m2ie.fr management de l'information et intelligence économique Sat, 14 Jan 2017 16:33:09 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.8.9 http://www.m2ie.fr/wordpress/wp-content/uploads/2015/11/cropped-logo-m2ie-32x32.jpg transformation numérique – m2ie | http://www.m2ie.fr 32 32 Blockchain : la confiance au cœur de l’algorithme http://www.m2ie.fr/blockchain-confiance-algorithme/ http://www.m2ie.fr/blockchain-confiance-algorithme/#respond Sat, 26 Mar 2016 19:14:04 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=6765 Blockchain. Derrière ce terme se cache une ambition : bouleverser Internet et lui rendre ses possibilités révolutionnaires en disruptant l’univers des transactions.   Une révolution qui pourrait progressivement impacter tous les secteurs d’activité et transformer le fonctionnement de notre économie en changeant notre rapport à la confiance.   Un emballement médiatique soudain et d’une ampleur [...]

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Blockchain. Derrière ce terme se cache une ambition : bouleverser Internet et lui rendre ses possibilités révolutionnaires en disruptant l’univers des transactions.
 
Une révolution qui pourrait progressivement impacter tous les secteurs d’activité et transformer le fonctionnement de notre économie en changeant notre rapport à la confiance.


 

Un emballement médiatique soudain et d’une ampleur inédite

 
La technologie qui se cache derrière la monnaie virtuelle Bitcoin connaît une popularité exponentielle. Consacrée « Méga tendance » par le World Economic Forum (i) en septembre 2015, et présente au cœur des débats qui se sont tenus à Davos début 2016, la Blockchain n’en finit pas depuis de faire parler d’elle.
Articles, colloques et présentations sur cette « technologie de rupture » s’enchainent et se multiplient à un rythme effréné, attirant à chaque fois un public toujours plus large.

Les banques ont été parmi les premières à s’y intéresser de très près, conscientes de l’enjeu de celle-ci pour leurs activités et du risque qu’elle peut faire peser sur leurs revenus. En ligne de mire, l’utilisation de la blockchain pour gérer de manière sécurisée des paiements, des contrats, le back-office, le trading d’actions, mais aussi pour vérifier une identité … Et bien sûr diminuer les coûts de fonctionnement.

Cependant, la Blockchain commence à faire tourner les têtes bien au-delà de la planète Finance. Singulièrement depuis qu’elle a fait la Une du prestigieux « The Economist ». Et à l’instar du Gartner, nombre d’analystes font aujourd’hui de la Blockchain l’une des technologies phares de leurs prédictions pour les années à venir. Pour certains experts, c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité, qu’on pourrait se soustraire, dans une large mesure, à un tiers de confiance. Tout un environnement règlementaire serait alors à repenser.
 

Des cas d’usage susceptibles de toucher une multitude de secteurs

 
Une multitude de domaines pourraient être impactés qui touchent notre vie quotidienne : Données médicales, élections, bien immobiliers, titres fonciers, brevets industriels, industrie culturelle, objets connectés.

Ainsi les cas d’usage potentiels sont-ils multiples et variés :

  • Enregistrer de façon sécurisée l’historique médical d’un patient
  • Valider des votes ou des référendums en ligne
  • Sécuriser des prêts entre particuliers
  • Prouver la paternité d’un algorithme ou d’un composant logiciel
  • Mieux gérer la propriété intellectuelle des contenus (articles, photos, musiques, illustrations…)
  • Valider une transaction immobilière, notamment dans des pays où il n’y a pas de cadastre comme en Grèce, au Ghana, ou au Honduras
  • Valider des micro-transactions sur des valeurs refuges comme l’or, l’argent ou les diamants
  • Exploiter la « sagesse des foules » pour prédire les tendances de marché

 
La Blockchain pourrait même donner corps à de nouveaux modèles d’organisations décentralisées en rendant possible la coordination et l’exécution automatisée d’activités de toute sorte à une échelle jamais encore imaginée.
 

L’ambition de la Blockchain : Révolutionner l’univers des transactions

 
Apparue avec la crypto-monnaie Bitcoin, la technologie Blockchain lui est intimement liée. Le fonctionnement du Bitcoin repose en effet sur ce système d’échange entre pairs, dénué de tout contrôle centralisé. Dans un premier temps, la réputation sulfureuse du Bitcoin a masqué le potentiel disruptif de la Blockchain. Mais aujourd’hui la technologie Blockchain sort de l’ombre et commence à séduire les milieux d’affaires. Par la transparence même de son processus, la Blockchain permet d’authentifier toute opération réalisée entre deux personnes et de transférer des actifs quels qu’ils soient, sans que la moindre tierce partie n’intervienne. Ce registre ouvert et public permet d’enregistrer, inventorier, vérifier, protéger, et transférer une multitude de choses :

  • des données (publiques et privées) d’identification et d’enregistrement
  • de l’argent (fonds, dépôts, séquestres)
  • des droits liés à des biens matériels et actifs immatériels (contrats, actes de propriété, droits d’accès)
  • des éléments de preuve (signatures, certificats, diplômes, licences, attestations)

 

Un protocole de validation fiable et robuste basé sur la notion de consensus décentralisé

 
La robustesse et la fiabilité du protocole Blockchain sont garanties par une communauté particulière d’utilisateurs : les mineurs, qui sont chargés de tenir à jour le registre. Chaque fois qu’une nouvelle transaction est envoyée dans le réseau, elle rejoint un petit bloc d’opérations nouvelles dont l’authentification va nécessiter la résolution d’une énigme mathématique. Le challenge à relever diffère selon chaque mineur et il n’existe pas de stratégie gagnante a priori.
Pour apporter la preuve de travail cryptographique (proof of work), il faut donc tester toutes les combinaisons, ce qui nécessite beaucoup de puissance de calcul. Le premier mineur qui résout le problème publie la preuve de travail sur le réseau. Son bloc est inscrit dans la chaîne par les autres mineurs, qui valident la transaction de base de son bloc ouvrant droit à la récompense en bitcoins. La transaction est ainsi validée par la communauté des mineurs selon un processus de consensus décentralisé.
 

Comment appréhender et définir simplement la Blockchain ?

 
Il n’est pas facile de définir la Blockchain tant le concept apparaît multiforme

Pour faire simple, on pourrait avancer que la Blockchain, c’est à la fois :

  • Une base de données en ligne retraçant un historique distribué de transactions
  • Un système décentralisé permettant d’établir la confiance entre deux parties
  • Une technologie algorithmique basée sur de la cryptographie de haut niveau
  • Un protocole d’échanges open source « auditable » par tous

En résumé, la Blockchain peut-être considérée comme une infrastructure générique de certification sur Internet.
 

Les mots-clés associés à la Blockchain

 
1. Confiance : rendue possible grâce à une technologie algorithmique basée sur la cryptographie de haut niveau

2. Désintermédiation : échange direct entre utilisateurs sans intermédiaire (régulateur ou autorité centrale)

3. Consensus décentralisé : Le registre distribué est stocké sur le serveur des utilisateurs. La vérification est réalisée par une communautés d’utilisateurs selon un principe majoritaire. Elle est le résultat d’un consensus entre des milliers de machines connectées.

4. Traçabilité : inscription horodatée de toutes les transactions sur un registre distribué consultable par tous.

5. Exhaustivité : le registre contient la liste de tous les échanges effectués entre les utilisateurs depuis sa création.

6. Auditabilité : possibilité de remonter l’ensemble de la chaîne et de retrouver l’historique des transactions

7. Inviolabilité : les blocs de transactions sont gravés de façon définitive et ne peuvent être modifiés. Ils sont à la fois infalsifiables et facilement vérifiables.

 

Avec la Blockchain, le principe de confiance est inscrit dans l’algorithme.

 
L’innovation de la Blockchain tient dans l’exploitation judicieuse de technologies informatiques et cryptographiques de haut niveau. C’est la combinaison originale de ces technologies qui permet d’assurer une confiance, a priori inaltérable, dans les informations contenues sur le registre distribué. La confiance est ainsi portée par les algorithmes de chiffrement asymétrique, l’organisation décentralisée du réseau Pair à Pair et les principes de la théorie des jeux.

En conclusion, l’aspect révolutionnaire de la Blockchain n’est donc pas tant technique que politique. Dans une économie basée sur la Blockchain, il n’y a en effet pas besoin d’avoir confiance en une personne, une société, un organisme, un régulateur ou une administration. Il faut juste faire confiance à l’algorithme. Mais au-delà des considérations techniques, la blockchain pose une question plus fondamentale : serons-nous capable de faire confiance aveuglément à des algorithmes pour certifier nos actes, notre patrimoine, nos vies ?
 

(i) : Le Forum Economique Mondial prévoit que la technologie Blockchain devrait exploser d’ici à 2027. Dans son rapport élaboré par plus de 800 experts, il fait l’éloge du potentiel des technologies financières distribuées et explique comment ces services vont provoquer des changements majeurs mondiaux au cours de la prochaine décennie. Le Forum Economique Mondial prévoit que l’adoption de la technologie Blockchain atteindra son « point de basculement » d’ici à 2023.

Pour aller plus loin :

– Melanie Swan : Blockchain – Blueprint for a new economy – O’Reilly 2015

Blockchain - la confiance au coeur de l' algorithme

Blockchain – la confiance au coeur de l’algorithme

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m2ie conseil fête ses 5 ans et lance un nouveau site http://www.m2ie.fr/m2ie-conseil-prend-un-nouvel-essor/ http://www.m2ie.fr/m2ie-conseil-prend-un-nouvel-essor/#respond Sat, 02 Jan 2016 08:00:00 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=897 Début 2011, m2ie devient un cabinet de conseil spécialisé en management stratégique de l'information.

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m2ie conseil lance un nouveau site mobile et une Newsletter hebdomadaire

Lancé initialement en 2007 par Bertrand DEBARGE, le blog m2ie est le projet éditorial, qui a accompagné l’émergence puis la création en février 2011 du cabinet m2ie conseil spécialisé en management stratégique de l’information.

Depuis 5 ans, ce cabinet de conseil accompagne les entreprises dans leurs projets de transformation, en les aidant à relever les défis de l’économie de la connaissance :

  • Anticiper et décider en environnement incertain et hyperconcurrentiel
  • Innover par la maîtrise de l’information critique et la mobilisation de l’intelligence collective
  • Manager les compétences stratégiques et valoriser le capital immatériel de l’entreprise
  • Mettre en place des organisations apprenantes et assurer la transmission des savoirs informels
Newsletter du cabinet m2ie conseil

Newsletter du cabinet m2ie conseil

Une Newsletter élargit maintenant le champ du blog pour traiter des problématiques en lien avec les nouvelles activités du cabinet. L’équipe pluridisciplinaire de m2ie conseil est composée de consultants expérimentés en :

  • intelligence économique
  • transformation numérique
  • gestion des compétences
  • management des connaissances

ainsi que de designers spécialistes des processus d’innovation et des espaces de travail collaboratifs.

A lire également : m2ie poursuit son développement avec succès

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Le facteur humain au coeur de la transformation numérique http://www.m2ie.fr/le-facteur-humain-au-coeur-de-le-transformation/ http://www.m2ie.fr/le-facteur-humain-au-coeur-de-le-transformation/#respond Sun, 31 May 2015 07:00:05 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=1351 Plus que jamais, le facteur humain apparaît comme la dimension essentielle d’une transformation numérique réussie   Après l’importance accordée au « hardware » et au « software » semble voici venu le temps du Peopleware . Il consacre le retour de l’attention vers l’utilisateur, ses pratiques et ses besoins, avec pour enjeux l’appropriation des nouveaux [...]

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Plus que jamais, le facteur humain apparaît comme la dimension essentielle d’une transformation numérique réussie

 

Après l’importance accordée au « hardware » et au « software » semble voici venu le temps du Peopleware . Il consacre le retour de l’attention vers l’utilisateur, ses pratiques et ses besoins, avec pour enjeux l’appropriation des nouveaux comportements et usages dans l’entreprise en réseau.

 

La transformation numérique consacre le retour en force de la valeur d’usage

 
L’acculturation des utilisateurs aux technologies de l’information et de la communication crée aujourd’hui un niveau d’exigence à l’égard des solutions proposées et change les pratiques comme les usages.
Avec l’e-transformation, l’accent est désormais mis sur la recherche de l’efficience individuelle et collective, notamment à travers la formalisation des processus et des bonnes pratiques qui conditionnent la performance.
Cette évolution ouvre la voie à une véritable transformation numérique comprise comme la transformation de toutes les composantes de l’entreprise (processus, métiers, culture, organisation) sous l’influence des Technologies de l’Information et de la Connaissance.
 

Elle appelle une approche renouvelée du management et de la conduite du changement

Au-delà de ces évolutions s’affirme la nécessité d’une nouvelle gouvernance des Technologies de l’Information et de la Connaissance intégrant véritablement la dimension humaine des dispositifs mis en place, et débouchant sur un management renouvelé, favorisant l’intelligence collective, l’apprentissage continu et le transfert des savoirs.
 
Pour aller plus loin :
– Michel Germain – Management des nouvelles technologies et e-transformation – Economica
– David Fayon et Michaël Tartar – Transformation digitale : cinq leviers pour l’entreprise – Village mondial 2014 (chapitre 5 sur le facteur humain)
– Jean-Noël Chaintreuil (Coll) – Ressources Humaines et Digital : regards collectifs de RH sur la transformation digitale Diateino 2015
 
Pour en savoir plus sur la dimension essentielle du facteur humain dans la transformation numérique :
e-transformation : l’impact des TIC sur les conditions de travail
 

Le facteur humain au coeur de la transformation numérique

Le facteur humain au coeur de la transformation numérique

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m2ie conseil poursuit son développement avec succès http://www.m2ie.fr/m2ie-conseil-poursuit-son-developpement-avec-succes/ http://www.m2ie.fr/m2ie-conseil-poursuit-son-developpement-avec-succes/#respond Mon, 01 Oct 2012 05:48:46 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=4310 Après avoir lancé le m2Lab, m2ie conseil poursuit son développement en créant Intelixia SAS.   Intelixia est une filiale spécialisée, qui interviendra principalement dans le monde de la formation professionnelle et continue, les secteurs public et parapublic, ainsi que les univers associatifs, paritaires et mutualistes. Economie du savoir, société cognitive, formation tout au long de [...]

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Après avoir lancé le m2Lab, m2ie conseil poursuit son développement en créant Intelixia SAS.


 
Intelixia est une filiale spécialisée, qui interviendra principalement dans le monde de la formation professionnelle et continue, les secteurs public et parapublic, ainsi que les univers associatifs, paritaires et mutualistes. Economie du savoir, société cognitive, formation tout au long de la vie …
 
L’acquisition de connaissances et de compétences nouvelles devient le levier majeur de l’adaptation et du développement des individus et des organisations. Pour nous l’entreprise est un lieu central d’accumulation de compétences et un espace privilégié de formalisation et de transmissions de savoirs tacites.
 
Dans un monde marqué par la succession des crises, nous considérons l’incertitude et la complexité comme sources d’apprentissage. Nous avons la conviction que la formation est un levier majeur de création de valeur et que la capacité à apprendre et à valoriser ses savoirs constitue une source majeure de différenciation.
 
De façon plus générale, nous pensons que les actifs immatériels (capital humain, organisationnel et relationnel) constituent les génomes des organisations et qu’à ce titre ils représentent une source unique de singularité et un formidable gisement de performance à exploiter. Intelixia bénéficiera des ressources et compétences de m2ie conseil sur le champ de l’économie de la connaissance, ainsi que des recherches et applications du m2Lab sur le management 2.0, les réseaux collaboratifs, et les nouvelles stratégies d’apprentissage.
 
L’offre d’intelixia s’appuie sur une connaissance fine des enjeux métiers de ses clients, ce qui lui permet de situer ses interventions au coeur de l’actualité : réforme de la formation professionnelle, lancement de la silver economy, réforme de l’économie sociale et solidaire, montée en puissance de l’e-éducation, …
 
A lire également : Le cabinet fête ses 5 ans et prend un nouvel essor

Intelixia - filiale de m2ie conseil spécialisée dans le secteur de la formation professionnelle

Intelixia – cabinet de conseil spécialisé et filiale de m2ie

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e transformation : l’impact sur les conditions de travail http://www.m2ie.fr/e-transformation-limpact-sur-les-conditions-de-travail/ http://www.m2ie.fr/e-transformation-limpact-sur-les-conditions-de-travail/#respond Mon, 05 Mar 2012 08:00:57 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=2117 Le Centre d’Analyse Stratégique et la Direction Générale du Travail viennent de publier un rapport analysant l’impact de l’ e transformation sur les conditions de travail. Le  rôle de l’ e transformation apparaît déterminant pour l’activité quotidienne des salariés, l’organisation de l’entreprise,  ses décisions stratégiques et les changements qu’elle connaît.   Les impacts de l’ e transformation sur les [...]

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Le Centre d’Analyse Stratégique et la Direction Générale du Travail viennent de publier un rapport analysant l’impact de l’ e transformation sur les conditions de travail.


Le  rôle de l’ e transformation apparaît déterminant pour l’activité quotidienne des salariés, l’organisation de l’entreprise,  ses décisions stratégiques et les changements qu’elle connaît.
 

Les impacts de l’ e transformation sur les conditions de travail sont nombreux et souvent positifs …

Le rapport souligne un fait majeur : La prédominance du  discours  promotionnel autour des TIC, perçus comme synonymes de progrès, de modernité et vecteur majeur de croissance économique,  laisse peu d’espace pour une approche centrée sur leurs effets sur les utilisateurs.
 

… mais les effets des TIC peuvent également se révéler défavorables.

L’impact des outils numériques sur la santé au travail est abordé, mais d’importants questionnements demeurent sur le sujet, notamment sur les impacts indirects. Ce peut être le cas pour le rythme et l’intensité du travail, le contrôle de l’activité, l’autonomie des salariés, l’affaiblissement des relations interpersonnelles et/ou des collectifs de travail.
La propension des TIC à brouiller les frontières spatiales et temporelles, entre travail et hors-travail, peut également poser problème tout comme leur contribution à la surcharge d’informations.
 

Des propositions autour de 4 axes, qui font une large place à la formation et à l’accompagnement du changement

Au-delà de ces tentatives de diagnostic, le rapport propose des réflexions articulées autour de 4 axes . Il s’agit de prendre en compte la dimension dynamique de ces technologies qui vont immanquablement poursuivre et multiplier leurs effets sur le travail :

  1. Développer la maîtrise d’usage des TIC par les entreprises et considérer le système d’information comme outil d’aide au travail des salariés
  2. Intégrer systématiquement les utilisateurs et les DRH dans la définition de besoins et la conduite des projets et associer les représentants du personnel à leur conception et pilotage
  3. Renforcer l’accompagnement des salariés face aux évolution des systèmes d’information
  4. Renforcer la capacité de l’Etat à prendre en compte les usdages des TIC dans les politiques publiques

Parmi les propositions concrètes on retiendra notamment :

  • l’établissement d’un bilan annuel sur les usages des TIC dans l’entreprise et le développement de dispositifs ciblés d’évaluation des usages
  • l’incitation à une participation accrue des DRH aux projets TIC et le développement de leurs compétences en matière d’analyse des usages numériques

 
Pour en savoir plus sur l’ e transformation : le rapport complet TIC et conditions de travail
 
A lire également pour comprendre les impacts de la transformation numérique : (cliquez sur le lien)
L’ e-transformation consacre le retour de l’utilisateur
Le facteur humain au coeur de l’ e-transformation
 

e transformation : l'impact du numérique sur les conditions de travail

e transformation : l’impact du numérique sur les conditions de travail

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La transformation numérique consacre le retour de l’utilisateur http://www.m2ie.fr/la-transformation-numerique-consacre-le-retour-de-lutilisateur-m2ie/ http://www.m2ie.fr/la-transformation-numerique-consacre-le-retour-de-lutilisateur-m2ie/#respond Tue, 28 Feb 2012 07:20:26 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=2027 La transformation numérique ou e transformation désigne la mutation socio-technique se traduisant par une dématérialisation des échanges et l’adoption de nouveaux usages numériques dans l’entreprise   1- La transformation numérique consacre le retour en force de la valeur d’usage La transformation numérique concerne les échanges internes mais aussi ceux que l’entreprise entretient avec son éco-système (clients, [...]

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La transformation numérique ou e transformation désigne la mutation socio-technique se traduisant par une dématérialisation des échanges et l’adoption de nouveaux usages numériques dans l’entreprise
 

1- La transformation numérique consacre le retour en force de la valeur d’usage

La transformation numérique concerne les échanges internes mais aussi ceux que l’entreprise entretient avec son éco-système (clients, fournisseurs, partenaires, institutions, …).  Elle s’accompagne d’une intensification des communications transversales liée notamment au développement des réseaux sociaux.
La transformation numérique se caractérise par :

  • son orientation sociale centrée sur l’humain
  • son approche transversale de l’organisation autour des communautés
  • son orientation collaborative et participative
  • son mode de management mixte, « sur place » et à distance,
  • son mode de travail mixte où le bureau devient virtuel.

 

2- la transformation numérique appelle une approche renouvelée du management et de la conduite du changement

La place de la technologie est relativisée au profit des bénéfices liés aux  usages numériques. L’accent est mis sur les comportements de collaboration, de mutualisation et de partage des savoirs.

Cette démarche insiste sur l’importance du facteur humain dans le déploiement technologique et  considère que la performance collective est avant tout liée à l’appropriation des nouveaux usages par les utilisateurs.

L’acculturation des utilisateurs aux technologies de l’information et de la communication crée aujourd’hui un niveau d’exigence à l’égard des solutions proposées et change les pratiques comme les usages. Avec la transformation digitale, l’accent est désormais mis sur la recherche de l’efficience individuelle et collective, notamment à travers de l’optimisation des processus et la diffusion des bonnes pratiques qui conditionnent la performance.
 
A lire également
e-transformation : l’impact des TIC sur les conditions de travail
Le facteur humain au coeur de l’ e-transformation
 
Pour en savoir plus sur la transformation numérique et son impact sur les ressources humaines :
– Michel Germain – Management des nouvelles technologies et e-transformation – Economica
– David Fayon et Michaël Tartar – Transformation digitale : cinq leviers pour l’entreprise – Village mondial 2014 (chapitre 5 sur le facteur humain)
– Jean-Noël Chaintreuil (Coll) – Ressources Humaines et Digital : regards collectifs de RH sur la transformation digitale Diateino 2015
 

Le facteur humain au coeur de la transformation numérique

Le facteur humain au coeur de la transformation numérique

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Réinventer son business en temps de crise http://www.m2ie.fr/reinventer-son-business-en-temps-de-crise-a-laide-du-web-2-0/ http://www.m2ie.fr/reinventer-son-business-en-temps-de-crise-a-laide-du-web-2-0/#respond Fri, 04 Nov 2011 09:26:00 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=976 2009 sera une année difficile pour un grand nombre d'entreprises. La plupart des organisations sont en train de voir ce qu'elles peuvent faire pour tirer le meilleur parti de la situation économique actuelle. La situation est suffisamment critique pour que ces dernières soient prêtes à sortir des sentiers battus. Dion Hinchcliffe propose des solutions pour répondre à cette problématique.

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Les nouveaux usages du numérique secouent depuis quelques années le business model des entreprises traditionnelles. Comment le web 2.0 peut-il aider à l’entreprises à réinventer son business et à constituer un moteur de croissance ? Voici quelques moyens pratiques qui peuvent aider les organisations confrontées à la crise.


La véritable opposition va venir du sentiment de perte de contrôle et de transparence, qui peut mettre mal à l’aise un certain nombres d’organisations. Toutefois, généralement les organisations confrontées à la crise, qui sont disposées à surmonter ce changement culturel et de la mentalité sont prêtes à s’investir dans ce nouveau défi.

  1. Avoir recours au SaaS pour tout ce qui n’est pas stratégique pour l’entreprise, pour réduire les coûts de licence et de mise à jours des logiciels
  2. Utilisez les médias sociaux pour capitaliser sur les connaissances et le savoir-faire des employés qui vont vous quitter
  3. Passer au Cloud computing pour réduire les coûts d’infrastructures
  4. Adopter de nouveaux modèles à faibles coûts de production, tels que le crowdsourcing notamment pour l’innovation
  5. Avoir recours à une communauté en ligne client pour réduire les coûts de gestion des clients
  6. Réduire le développement d’applications et d’intégration dans l’entreprise, de nombreuses solutions innovantes ont été développées sur le web comme les mashup
  7. Ouvrez votre supply chain à vos partenaires sur le Web à très faibles coûts
  8. Faîtes du développement durable en dématérialisant une partie de vos processus

Et vous voyez vous d’autres avantages aux médias sociaux pour réinventer son business et combattre la crise ?

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web 3.0 : retour d’expérience pour les entreprises innovantes http://www.m2ie.fr/le-web3-retour-dexperience-pour-les-entreprises-innovantes/ http://www.m2ie.fr/le-web3-retour-dexperience-pour-les-entreprises-innovantes/#comments Sat, 11 Dec 2010 14:05:00 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=919 Comme chaque année, à cette même date, c'est la grande messe du web 2.0 en France, le célèbre "le web3" de Loïc Lemeur. Nous n'allons pas revenir sur toute la journée qui n'est pas en droite ligne avec ce blog, mais plutôt nous concentrer sur l'intervention de Nelson Mattos de Google qui intervenait sur le thème : L'impact des technologies sur la culture des entreprises.

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Comme chaque année, à cette même date, c’est la grande messe du web 2.0 en France, le célèbre « le web trois » de Loïc Lemeur. Nous n’allons pas revenir sur toute la journée qui n’est pas en droite ligne avec ce blog, mais plutôt nous concentrer sur l’intervention de Nelson Mattos de Google qui intervenait sur le thème : L’impact des technologies sur la culture des entreprises.

Web 3 facteurs de changement

Pour Google, l’évolution actuelle que connaissent les sociétés repose sur trois principaux facteurs de changement qui sont : la connectivité, la démocratisation des moyens de production de contenu et les coûts de stockage.

Avec l’augmentation du nombre d’infos qui circulent sur le net, il devient difficile ne pas avoir de connection, que ce soit pour rester en contact avec les siens ou avec ses collègues. On comptabilise 110 millions de blogs et ce chiffre augmente rapidement, tandis que 80 milliards d’IM ou de mails sont échangés chaque jours. Sans compter qu’avec l’augmentation des contenus multimedia, cette connexion doit être de plus en plus rapide. On recense à l’heure actuelle 250 millions de connexions haut debit et elles devraient atteindre le chiffre de 500 millions dans quelques années. Si Google à ses début recensait 25 millions de pages, il en comptabilise maintenant à plusieurs milliards.

L’autre facteur est la démocratisation des moyens de production de contenu, qui se concrétise, par exemple, par la vente de 60 millions de cameras numériques chaque année et qui conduit souvent à un partage sur le web à travers différents sites de partage. Il en va de même pour les photos, ainsi le site de partage de photo  »Flicker » compte 3,7 millions téléchargements quotidien. Enfin, la baisse du coup de stockage est aussi déterminant, puisque ce stockage prend de moins en moins de place avec de plus en plus de capacités à moindre coup.

Web 3 facteurs d’innovation

Ces faits doivent conduire les entreprises à innover. Cette innovation pour Google repose encore sur trois facteurs: culture, collaboration et vitesse

Concernant le facteur culturel, on considère que 70%-80% des nouveaux produits sont un échec, car ils ne correspondent pas aux besoins des consommateurs. Internet et la mondialisation permet de se rendre compte que les besoins sont différents selon les pays. En france, la culture des blogs est extrêmement répandue, au Brésil, ce sont les réseaux sociaux qui sont plebiscités. Aussi une entreprise qui met en place des outils web 2.0 doit tenir compte de ces différences, en interne, comme en externe.

Le collaboratif est aussi extrêment important. Comme le dit l’adage, « certains secrets ont plus de valeurs quand ils sont partagés« . Certaines grandes entreprises l’ont bien compris. Ainsi, IBM dans les années 90 a rejoint la communauté du logiciel libre et ouvert le code source de ces plateforme et a retrouvé un seconde souffle grâce à cela.Intel a lancé un programme de recherche commun avec les universités et a ainsi grandement développé sa R&D. Mais pour fonctionner, le collaboratif ne doit pas reposer sur une structure pyramidale ou hiérarchique. Google donne accès à de nombreuses technologies et bases de données à ses personnels qui développent leurs propres projets et leurs donne aussi les moyens de les lancer. Cela ne marche pas, qu’importe, on a le droit à l’erreur, il faut persévérer. Que ce soit dans une optique de groupe de travail ou de groupe affinitaire autour de divers sujets, Google soutient ces petits groupes collaboratifs. La collaboration doit exister en interne comme en externe. Les entreprises doivent collaborer entres elles, avec les universités, avec le gouvernement. Finalement on retrouve en partie, le côté territoriale en moins, le concept des pôles de compétitivité.

Enfin le dernier facteur est la vitesse. Comme l’explique Rupert Murdoch, « les gros ne battrons plus les petits, les rapides battront les lents« . Pour cela, il faut une diminution de la taille de la chaîne de décision et mettre en place des versions beta qui progressent rapidement grâce aux remarques des clients. Toutes les stars du web 2.0 n’existaient pas il y a 10 ans, Ebay, Skype, Facebook… , aujourd’hui c’est la vitesse qui compte.

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L’entreprise de demain : ce qui va réellement changer http://www.m2ie.fr/lentreprise-de-demain-ce-qui-va-changer/ http://www.m2ie.fr/lentreprise-de-demain-ce-qui-va-changer/#comments Tue, 17 Mar 2009 08:13:00 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=985 Voilà la suite du billet sur la vision de Don Tapscott sur sa vision de l'entreprise de demain.

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Voilà la suite du billet sur la vision de Don Tapscott sur sa vision de l’entreprise de demain.

Optimisation des processus et processus d’innovation à la demande

Aujourd’hui, les leaders du marché (grands et petits) excellent pour inventer de nouveaux processus au lieu perfectionner ceux existant. La plupart des organisations cherchent également à optimiser leurs processus métiers. Cela nécessite une capacité d’écoute des besoins et des attentes des utilisateurs en dehors des frontières de l’entreprise, les employés des entreprises partenaires, mais aussi les clients et les autres participants au sein de votre entreprise. L’environnement économique actuel exige l’agilité des processus d’affaires et une nécessité de changement. Les entreprises doivent répondre sans cesse à la demande en fonction de l’évolution de la situation. Une entreprise doit avoir une architecture dont les composants sont modulaires, interconnectés, et facilement reconfigurables – tout comme les technologies qu’elle emploie. Il existe une distinction claire entre ce qui persiste dans le temps et ce qui est flexible. Cette architecture permet à l’entreprise de faire évoluer son portefeuille d’activités pour se concentrer davantage sur l’innovation, la création de valeur, et l’évolution des besoins clients. L’entreprise bénéficie d’une culture de l’expérimentation et est disposé à ne pas mettre fin à certaines démarches, afin de dénicher des succès et de nouvelles solutions innovantes. Par exemple, les processus d’innovation devront être fondamentalement reconfigurés. Tout comme vous pouvez mélanger un Rubik’s Cube, vos « consom’acteur » vont reconfigurer les produits à leurs propres fins.

De la gestion des connaissances, au contenu collaboratif et à l’intelligence collective

Le concept de la gestion des connaissances a connu un succès limité, parce que les approches actuelles de la connaissance est vue comme une ressource finie, capturée dans des conteneurs, puis mis à disposition par le biais de dépositaires. Toutefois une nouvelle approche fait jour, où la connaissance est comprise comme une infinité de ressources, pouvant être exploitée par une collaboration efficace, à l’intérieur et l’extérieur des organisations. Aujourd’hui des outils collaboratifs, tels que les wikis, blogs, réseaux sociaux, recherche, tags, flux RSS… et de gestion de contenu permettent ce que nous appelons le « savoir collaboratif ». Cette approche est un élément clé pour libérer et exploiter les connaissances contenues dans et à l’extérieur de l’entreprise, pour l’accélération de l’innovation et l’augmentation de l’avantage concurrentiel. Le collaboratif transforme la Business Intelligence qui a été considérée comme un outil pour appuyer les décideurs, plutôt que d’aider à la collaboration. Cette nouvelle démarche s’étend à pratiquement tous les employés, ainsi qu’aux intervenants externes. Il permet et encourage la collaboration au sein et en dehors de l’entreprise. La stratégie définit qui reçoit les informations, à quelles conditions, avec quelles fréquences et dans quels formats. Les outils sont visuels et interactifs, permettant aux non spécialistes de participer. Les entreprises adoptent cette nouvelle approche pour prendre de meilleures décisions, devenir plus agile et de réduire les coûts de transaction et de contrôle.

De l’opacité à la transparence dans l’entreprise de demain

Avant l’information tendait à être enfermé à l’intérieur des murs de l’entreprise et demeurait souvent difficiles d’accès. Les sociétés ont des informations opaques tant en interne qu’avec leurs partenaires. Les entreprises qui ont une stratégie de transparence ont de meilleures performances. Les clients peuvent évaluer la valeur des produits et des services comme cela n’a jamais été le cas auparavant. Les sociétés n’ont d’autre choix que de repenser leurs valeurs et leurs comportements.

De la production à la gestion client dans l’entreprise de demain

Les biens et services partout dans le monde sont banalisés – achetés et vendus presque exclusivement sur la base du prix. Dans un monde où les clients sont informés, volages, ont un vaste choix et où les marges sont minces, une croissance rentable peut être difficile. Malgré une reconnaissance de ces faits, la plupart des organisations ne gèrent pas vraiment leur relation client. Pour les clients, l’expérience est fragmentée, incohérente, frustrante. Certaines grandes organisations permettent aux clients de configurer, personnaliser, ou de co-créer ce qu’ils souhaitent acquérir et pas seulement de consommer ce que vous voulez leur donner. Cela peut permettre de réaliser des performances de 10% à 25% supérieurs. Cela vient de l’augmentation de la rétention clients, des ventes suivies et supplémentaires et de la réduction des coûts d’acquisition de clientèle. Il faut repenser entièrement la relation client dans la chaîne de valeur, depuis la création de valeur et de la co-innovation, la gestion des partenaires, le marketing, l’expérience clients, de nouveaux modèles, les ventes, l’après-vente et la distribution. Les quatre P du marketing (produit, place, prix et promotion) ne sont plus qu’un cadre pour réfléchir à l’ensemble de l’expérience et de la relation client.

Des anciens systèmes d’information aux nouvelles plateformes collaboratives

La plupart des entreprises ont des systèmes qui répondent à leurs exigences de base pour effectuer des transactions – ERP, CRM, chaîne d’approvisionnement et autres systèmes transactionnels. Le modèle industriel, est toujours au cœur de la plupart des modèles aujourd’hui, ce qui explique l’extrême difficulté qu’ils rencontrent à chaque fois que des clients ou des concurrents, les forcent à un changement majeur dans leur stratégie et leur fonctionnement. Le changement est difficile, complexe et distrayant, et le projet de mise en œuvre est souvent important. Le changement n’est jamais fait aussi vite que nécessaire. Les technologie de l’information, en particulier celles du Web 2.0, ont un rôle central dans le fonctionnement de l’entreprise. Dans l’entreprise de demain, elles peuvent permettre à une entreprise de fonctionner comme l’internet – à la demande, toujours disponible, toujours en lien avec les ressources supplémentaires nécessaires.

Et vous comment imaginez-vous l’entreprise de demain ?

L'entreprise de demain

L’entreprise de demain

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Ce qui va changer dans l’entreprise de demain http://www.m2ie.fr/ce-qui-va-changer-dans-lentreprise-de-demain/ http://www.m2ie.fr/ce-qui-va-changer-dans-lentreprise-de-demain/#respond Tue, 10 Mar 2009 08:25:00 +0000 http://www.m2ie.fr/?p=983 Don Tapscott l'auteur du célèbre Wikinomics nous donne sa vision de l'entreprise de demain. En voici les principaux points. A l'origine, la technologie n'a pas été utilisée pour modifier les modes de travail, mais pour les automatiser. Par conséquent, les entreprises restent bloquées avec des systèmes qui sont des obstacles, plutôt que des catalyseurs du changement. Elles sont tournées vers des relations transactionnelles. Une nouvelle ère de collaboration est en train d'émerger, et grâce à l'Internet (le Web 2.0 comme on l'appelle) les entreprises peuvent plus facilement s'organiser, innover et communiquer avec l'ensemble des parties prenantes où qu'elles soient. L'ADN des systèmes d'information doit céder la place à un nouvel ADN basé sur l'interaction, et permettant la collaboration.

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Don Tapscott l’auteur du célèbre Wikinomics nous donne ici sa vision de ce qui va changer dans l’entreprise de demain.

Ce qui va changer dans l’entreprise de demain selon Don Tapscott

A l’origine, la technologie n’a pas été utilisée pour modifier les modes de travail, mais pour les automatiser. Par conséquent, les entreprises restent bloquées avec des systèmes qui sont des obstacles, plutôt que des catalyseurs du changement. Elles sont tournées vers des relations transactionnelles. Une nouvelle ère de collaboration est en train d’émerger, et grâce à l’Internet (le Web 2.0 comme on l’appelle) les entreprises peuvent plus facilement s’organiser, innover et communiquer avec l’ensemble des parties prenantes où qu’elles soient. L’ADN des systèmes d’information doit céder la place à un nouvel ADN basé sur l’interaction, et permettant la collaboration.

Le management de l’information dans une entreprise centrée sur l’interaction est différente de celle qui se fonde sur les transactions. Il est possible de permettre la collaboration entre de nombreuses interactions, de la même manière que les entreprises conduisent des transactions. L’essentiel est de relier l’information autour des personnes et des entités telles que les clients, les partenaires, et d’autres organisations. Pour la première fois, il est possible d’utiliser les technologies web 2.0 pour transformer le mode de fonctionnement de l’entreprise.

Si la technologie est importante, elle ne l’est pas de la façon dont l’appréhende la plupart des entreprises. Les informations sur les personnes, leurs relations et leurs entités vont offrir un avantage concurrentiel important. Elles vont permettre à chacun au sein d’une entreprise de mieux comprendre où nous nous dirigeons en temps réel.

De la multinationale à la pensée globale

Le mantra de la mondialisation est « Think global, act local », ce qui signifie « Avoir une perspective globale, mais se comportent selon les exigences des marchés locaux ». Toutefois, la société est transformée par la mondialisation de l’économie et la montée en puissance de l’Asie comme moteur de la croissance mondiale, le développement d’un personnel hautement qualifié et à faible coût, d’une main-d’œuvre mondiale et mobile et par la baisse rapide des coûts de collaboration. Pourtant aujourd’hui, la plupart des entreprises fonctionnent toujours pareils. Pour être compétitif dans un marché globalisant, les sociétés doivent penser et agir globalement. Les sociétés qui adoptent cette stratégie mondiale peuvent améliorer leur efficacité et produire des économies d’échelle tout en augmentant leur capacité à innover et leur réactivité aux marchés locaux.

Du management des personnes à la gestion des talents

Dans son essai de 1937, La Nature de l’entreprise, Ronald Coase, prix Nobel d’économie se demandait : « pourquoi les entreprises existent-elles? » Pourquoi les sociétés ont été nécessaires pour diriger la coordination des ressources plutôt que de laisser les acteurs coopérer par eux-même. Aujourd’hui, grâce aux nouvelles technologies, attirer, développer, retenir les meilleurs et les plus brillants à l’intérieur de votre entreprise est en train de devenir peut efficient. Avec la baisse des coûts de la collaboration, les entreprises peuvent avoir accès à de nombreuses source d’idées, d’innovations, et à un vivier de talents mondiaux.

Par delà les hiérarchies, la collaboration en réseau

Dans le passé, les sociétés se sont organisées de façon hiérarchique. Tout le monde était le subordonné de quelqu’un d’autre, il y avait toujours quelqu’un ou une société en charge de contrôler les choses, au « top » de la chaîne alimentaire. Alors que les hiérarchies ne sont pas en voie de disparition, les entreprises peuvent maintenant collaborer entre pairs plutôt que comme des supérieurs hiérarchiques et des subordonnés. Et les pairs peuvent créer de la valeur à l’extérieur des limites traditionnelles des entreprises, par les réseaux sociaux qui permettent de plus en plus de production sociale. Après tout, si vous pouvez faire une encyclopédie comme Wikipedia, des logiciels libres, un système de prêt comme zopa, créer un fond de placement comme marketocracy, vous pouvez aller plus loin. Plutôt que de créer un cahier des charges pour sa chaîne d’approvisionnement, Boeing a co-innové pour le 787 Dreamliner, avec des milliers de partenaires dans le monde entier. La collaboration peut apporter de nouvelles possibilités pour libérer le potentiel d’innovation dans un large éventail de ressources qui se développent dans et en dehors de l’entreprise.

Ce qui va changer dans l’entreprise de demain : Du repli sur soi à l’innovation ouverte

La sagesse populaire dit, vous devez contrôler et protéger les ressources et les innovations – en particulier celles de la propriété intellectuelle – par le biais de brevets, copyrights… Si la propriété intellectuelle développée par une société doit être protégée, une nouvelle économie de la propriété intellectuelle apparaît. Paradoxalement, dans une certaine mesure, les entreprises de l’électronique, la biotechnologie… en défendant un système propriétaire paralysent leur capacité à créer de la valeur. Certaines entreprises gèrent la propriété intellectuelle comme un fonds commun de placement – ils gèrent un portefeuille équilibré d’actifs de propriété intellectuelle : une partie protégée et une partie partagée. Le meilleur moyen pour accélérer la croissance et l’innovation est de construire des écosystèmes d’entreprises dynamiques qui exploitent une base commune de technologies et de connaissances.

Ce qui va changer dans l’entreprise de demain : De la co-innovation client

Les entreprises collaboratives en savent plus sur leurs clients que n’importe quel concurrent. Elles sont constamment en interaction avec eux, et recueillent d’abondantes quantités de données à analyser. Ces compagnies demandent à leurs clients de les aider à élaborer leurs prochaines grandes idées et de devenir des co-innovateurs. Aujourd’hui, les clients s’attendent à être traités de façon individuelle, parce qu’ils savent qu’ils peuvent l’être. Ils sont plus actifs, mieux informés et plus exigeants. Dans cette nouvelle approche, pensez à vos clients comme présents dans votre entreprise et non comme externe. Dans ce nouveau modèle, les clients peuvent participer à la création de produits d’une manière active et permanente. En d’autres termes, les clients ajoutent de la valeur à l’ensemble du cycle de vie des produits. Il existe de nombreuses possibilités de transformer les consommateurs en «consom’acteurs » – qui sont à la fois consommateurs et producteurs de vos produits et services.

La suite de ce billet sur ce qui va changer dans l’entreprise de demainLa suite

Ce qui va changer dans l'entreprise de demain

Ce qui va changer dans l’entreprise de demain

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